Sous-sol du night club

La porte arrière menait à un escalier où un homme jonchait au bas de celui-ci, il avait reçu une balle en pleine tête, et il s'était sûrement briser la jambe dans sa chuter puisque l'articulation de son genou était plié à l'envers. Le dos accoté contre le mur du fond, une flaque de sang au sol, tu pouvais apercevoir une deuxième porte au bas de l'escalier. Un homme ouvrit alors soudainement la porte qui frappa le mort et lui rebondit en plein visage qui le fit reculé de l'autre côté du seuil de la porte. En descendant en bas, Hermann remarqua alors que l'homme gisait au sol, du sang plein le visage, il devait s'être cassé le nez. La pièce où Hermann se trouvait maintenant devait être le sous-sol du night club. Elle était assez grande et il y avait plusieurs tables et des armoires où on pouvait voir qu'une grande quantité de poudre était tombée un peu partout, comme ramassée à la hâte. Il y avait une porte au fond de la pièce. Une arme à feu gisait à peine à un mètre à la droite de l'homme au sol qui commençait alors à reprendre ses esprits.

(Si tu décides de déclencher le combat, tu vas pouvoir frapper en premier)

Homme au sol: 25 p.v. 0% de dex.

Hermann donna un brusque coup de pied à l'arme à feu au sol pour l'immobiliser bien comme il faut, et d'un même mouvement, il sortit son katana qui trancha l'air dans un glissement sec. Il amena la pointe tranchante de son katana à la gorge du type qui gisait au sol.

- Écoute, je suis dans une meilleure position que toi, je n'ai pas l'intention de faire couler plus de sang qu'il y en a eu dans ce bar. Si tu coopères, je te laisserai la vie sauve, ne tente surtout pas de me faire fausse route ou un simple tour de passe-passe, je n'ai pas l'intention de rigoler. Insista-t-il en jetant un regard grave.

-J'aimerais savoir si le marchand de sable qui se fait aussi nommer "le Dealer" se trouve en ces lieux. Je ne lui veux aucun mal, au contraire, j'ai besoin de son aide...

L'homme te regarda étrangement...

-Tu es en train de perdre ton temps ici alors que tout le monde court partout, les boeufs sont dehors et ils ne te feront pas de quartier. Et puis, il se passa une main devant le visage pour enlever le sang qui coulait, le marchand de sable est mort, et si j'étais toi, je foutrais le camp d'ici, et vite, ça ne te sert à rien d'me garder comme ça, parce que sinon c'est nous deux qui allons mourir... il ne va pas tarder à descendre... LUI...

Deux hommes entrèrent par la porte au fond de la pièce, ils avaient des fusils automatiques et tiraient comme des fous de l'autre côté de la porte. C'est alors que la tête d'un des deux hommes éclata en morceaux, répandant un flot de sang tout à fait aberrant. L'homme qui était juste à côté de lui se mit à courir vers vous deux, criant comme un malade mental.

(La scène te fait perdre 4 p.s.m...)

L'homme qui était sur le sol comprit bien vite que tu ne lui voulais pas de mal. Il regretta de ne plus avoir son arme en main mais il te tira par le bras dans une autre direction:

-Par ici...

Il ouvrit alors un armoire et il te balança à l'intérieur.

-En espérant simplement qu'il ne restera pas longtemps dans le sous-sol... Les despotes ne doivent pas être loin derrière lui...

Dans l'entrebaillement de la porte, Hermann et l'autre purent voir celui qui criait fuir par les escaleirs et sortir du sous-sol. Puis un autre entra dans les sous-sol, il lévitait carrément dans les airs, sa peau était bleuté et une sorte de halo bleu émanait de lui. Son nez et ses oreilles saignaient, il semblait avoir du mal à avancer... Des policiers entrèrent alors par la même porte où était entré l'éthéré, ceux-ci portaient des masques à gaz. Ils lancèrent une bombe lacrymogène vers l'éthéré, celle-ci sembla pénétrée dans le halo bleuté mais si arrêta avec douceur, pour finalement être brutalement relancé vers les policiers. Le gaz qui s'en échappait ne pénétra pas non plus dans la sorte de champ magnétique qui entourait l'éthéré. Ils se mirent alors à lui tirer dessus, les balles déviaient toutes de leur trajectoire lorsqu'elle atteignait le halo bleu pour s'écraser ailleurs, notamment tout près de la porte de l'armoire, ce qui fit sursauter Hermann et son complice. Mais une balle finit par traverser le bras droit de l'éthéré qui ne réagit pas sur le coup... Il y avait maintenant énormément de fumée dans la pièce, on y voyait presque plus rien. L'éthéré jeta un coup d'oeil à son bras qui saignait, et il lança un énorme cri. Il se tourna vers les policiers et c'est comme si tout autour de lui était répulsée avec une force incroyable, les tables volèrent dans la pièce, la fumée fut repoussé et les policiers levèrent de terre pour frapper le mur du fond, tandis que la porte de l'armoire s'apprêta à s'ouvrir brutalement, l'effort des deux hommes cachés, accotant leurs jambes sur le mur du fond de l'armoire, fut assez pour ne pas divulguer leur cachette...

L'éthéré se dirigeait maintenant vers la sortie du sous-sol, vers la porte arrière qui donnait sur la ruelle où policiers et gangsters ne cessaient toujours pas de tirer...

Hermann en a vu assez pour comprendre la force éthérée encore jamais égalée de son vécu. Jamais il n'avait vu quelqu'un léviter comme ça. L'éthéré se dirigeait à l'extérieur, sous le coup de la terreur et de la surprise, il ne fit rien d'autre que d'attendre qu'il soit sorti. Lorsqu'il eut l'ultime conviction que ce monstre était assez distant, il ouvrit l'armoire à la volée, sous le choc, la porte sorti de ses gons et se fracassa sur le sol. Hermann vérifia si l'arme était chargée...

-Il serait peut-être utile de trouver des munitions, il doit bien en avoir dans un tel endroit...

Il regarda les despotes au sol, il s'approcha pour vérifier s'ils étaient inconscients ou même morts, leur arme et munitions pourraient leur être utile. L'autre homme se mit à faire le tour de la pièce aussi.

Les policiers semblaient uniquement inconscients, mais il y avait toujours beaucoup de bruit en haut, et des bruits de pas se firent de mieux en mieux entendre, des gens approchaient... L'homme qui accompagnait Hermann s'approcha des policiers, il prit un masque qu'il lança à Hermann et en prit un lui aussi qu'il ne fit que mettre sur le dessus de sa tête afin d'avoir les mains toujours libres. Il prit une bombe lacrymogène qu'il y avait à la ceinture d'un des policiers, la jeta de l'autre côté de la porte qu'il barra et qu'il commença à barricader...

-Mais qu'est-ce que tu fous aide-moi! lança-t-il à Hermann. Non plutôt, enlève les uniformes de deux des policiers et enfiles-en un pendant que je barricade la place... Peut-être alors qu'on réussira à sortir d'ici indemne!

Il barricada l'endroit, le temps que tu enfiles l'uniforme, il te restait un peu de temps pour regarder les alentours... Il y avait plusieurs plantes, on aurait dit un véritable laboratoire, mais c'est alors que tu aperçus un nouveau cadavre... Il était plus loin, dans le coin opposé à celui où vous étiez caché...

Hermann enfila l'uniforme despote qui lui était un petit peu trop grand au niveau de la ceinture. Il pris son arme à feu ainsi que celui à côté. Il lança l'arme vers l'homme qui barricadait en ce moment la porte, l'arme glissa jusqu'à ses pieds. Par après, il se tourna vers le cadavre qu'il venait d'apercevoir. En s'y approchant, il l'examina pour tenter l'identifier. Son sang qui ruisselait sur son visage rendait les traits de la personnes indistincts. Il regarda s'il y avait des cartes d'identités dans ses poches et s'il avait une arme à feu à la ceinture. Et puis après il se retourne vers l'homme:


-Eh bien maintenant, qu'est-ce qu'on fait? On vient de bloquer la sortie pour le bar, il y a cette porte qui mène vers la ruelle et où il y a ce malade mental. Dépèche-toi bordel, on a pas beaucoup de temps!!

La fumée encore dans la pièce ne s'était pas totalement dissipée. L'homme ayant fini de bloquer la porte rejoignit Hermann en plaçant son arme à sa ceinture.

-Je crois qu'on a pas vraiment le choix...

Les deux hommes partirent en courant dans la cage d'escalier qui montait à la ruelle.

(Voici le plan)



-Le rond vert c'est toi.
-Le rond gris c'est ton copain.
-Le rectangle bleu c'est l'armoire.
-Les trois ronds bleus sont les policiers inconscients.
-Le gros rectangle rouge, c'est l'escalier qui mène vers l'extérieur, celui par où tu es entré.
-Le gros rectangle noir, c'est l'escalier qui mène au rez-de-chaussée du night club.
-Le cercle jaune, c'est la bombe lacrymogène qu'a lancé ton copain.
-Le cercle rose, c'est le deuxième cadavre.
-Le cercle brun, c'est le premier cadavre que tu as vue, celui à la jambe cassée...